Studiedag: "Wanneer dreigt een onderneming in moeilijkheden te geraken?
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Les entreprises et les consommateurs investissent à nouveau

Les politiciens de tous bords prétendent depuis six mois déjà que le pire est passé. Que la reprise est en marche. Malheureusement, tous les chiffres ne confirment pas leurs dires. Comme le nombre de faillites enregistrées chez nous, par exemple (voir dernier infographic). Le point positif, en revanche, c’est l’amélioration du comportement de paiement entre entreprises.

Un article paru dans le magazine ‘Knack’ de la semaine dernière donne un beau récapitulatif des indications économiques importantes. Elles montrent dans quelle direction la situation avance. Ce blog vous présente les citations les plus intéressantes.

Gino Van Ossel, professeur de marketing Vlerick Business School à propos de la confiance des consommateurs : "La confiance des consommateurs se restaure depuis dix mois déjà, mais elle reste cependant négative. Toutefois, les Belges en ont assez de la crise et des messages négatifs qu’elle véhicule. Ils en sont au point d’effectuer un mouvement de rattrapage. S’ils ont par exemple reporté depuis quelques années l’achat d’un véhicule ou d’un lave-linge, ils seront cette fois obligés de faire l’acquisition d’un nouveau."

Bart Van Craeynest, économiste en chef de Petercam à propos de la confiance des entrepreneurs : "Les commandes recommencent à entrer dans la plupart des secteurs, sauf la construction. Les entreprises sortent peu à peu de la crise et effectuent des investissements de remplacement."

Gert Peersman, professeur d’économie à l’UGent à propos de la croissance économique : "Notre croissance particulièrement faible a été réalisée de manière très artificielle. L’intérêt de la BCE avoisine le zéro pour cent, beaucoup de pays ont accumulé les dettes."

Koen De Leus, macro-économiste à la CBC à propos des exportations : "Les exportations belges vont surfer sur la vague de la restauration conjoncturelle internationale. En revanche, nous perdons des parts de marché. Nous manquons également de force concurrentielle à cause de nos charges salariales élevées et d’une croissance plus lente de la productivité en comparaison avec les pays voisins."

Carsten Brzeski, économiste ING à propos de l’Allemagne : "Berlin se concentre davantage sur les travaux infrastructurels. Le gouvernement allemand met en œuvre les grands moyens pour un approvisionnement énergétique durable et renouvelable. Le secteur de la construction belge peut y répondre."

Source : article Knack 'Is de economische crisis echt voorbij?' (La crise économique est-elle vraiment passée?) mercredi 5 février 2014

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