3 arguments pour se lancer aujourd’hui dans les « big data »
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3 arguments pour se lancer aujourd’hui dans les « big data »

Les PME n’ont toujours pas accroché le train des « big data » et les raisons sont multiples. Ces raisons se fondent souvent sur une méconnaissance de cette tendance incontournable. Ce blog vous présente 3 arguments qui devraient vous convaincre de vous lancer.

1. « Big data » = « smart data »

Toute entreprise collecte des données. Certains petits indépendants se contentent de les mémoriser. Les entreprises, elles, inscrivent les bons et les mauvais payeurs dans leur système de facturation. Ou regroupent les informations relatives à un projet spécifique dans un outil de gestion de projet. Ou encore, enregistrent des données dans un progiciel CRM.

Plus l’entreprise est grande, plus vaste est le système et plus haute est la montagne de données (big data). La grandeur de la montagne d’informations n’est pas en soi un critère. Ce qui est important, c’est de générer une valeur ajoutée à partir des données analysées. De nouvelles informations (smart data) que vous pouvez ensuite exploiter pour prendre des décisions et adapter des procédures.

2. Les « big data » ne sont pas si complexes, commencez petit

Il suffit de disposer d’outils simples pour collecter, tenir à jour et associer des données. Ainsi, des logiciels de mailing tels que MailChimp et CampaignMonitor permettent d’envoyer et d’assurer le suivi de vos mailings. Google Analytics tient le compte des visites sur votre site Web. La liste des programmes qui peuvent vous faciliter la vie est sans fin. Tout peut aussi être centralisé dans un système CRM intégrant tous ces outils. N’installez pas de nouveaux systèmes au petit bonheur la chance. L’idée de départ doit être qu’à l’avenir, tout devienne plus simple qu’aujourd’hui. Cela répond bien à l’argument suivant.

3. Avec les bonnes données commerciales, vous gagnez du temps

À l’heure actuelle, plusieurs départements encodent des données, le plus souvent indépendamment les uns des autres. Lorsque l’un a besoin d’une information qu’un autre possède, la quête infernale commence. Quelle perte de temps!

En outre, il se glisse souvent des erreurs et des imprécisions dans les données commerciales encodées manuellement, avec les pertes de temps incalculables que cela suppose.

Par exemple, le vendeur n’encode aucune information sur la manière dont les discussions avec le client se sont déroulées ou sur les points concernant lesquels les clients souhaitent davantage d’informations. Ensuite, l’adresse n’est pas bien introduite, de sorte que la facture ne parvient pas à la bonne personne. Apparemment, ce sont de petites inexactitudes, qui  partent du principe: « Je n’ai pas le temps de bien le faire ». Mais le vendeur concerné perd alors beaucoup de temps dans la préparation de l’entretien suivant. Parce qu’il ne dispose pas des informations pertinentes.

De nombreuses PME se reconnaissent dans cette description. Vous aussi? Si oui, lancez-vous dès aujourd’hui dans cette forme simple de « big data ».

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